Titre du sujet : morning routine | ft/ robyn.
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Tu n'es pas le genre de femmes à faire beaucoup de sport, t’es plutôt du genre à faire le minimum syndical, une petite foulée de temps à autre ou un peu de fitness ça ne fait jamais de mal, mais voilà, t’es pas une dingue de sport non plus. Ce matin, tu t’étais motivée, tu ne sais pas où t’avais trouvé la motivation pour te lever, mais bon, tu l’avais fait, comme quoi rien n’était impossible. T’as mis ta tenue, un short, un t-shirt, de bonnes baskets, et tu te lances ensuite dans un petit parcours. Tu cours dans ton quartier puis tu rejoins celui de California Bay, à chaque fois que tu y vas t’as envie d’y habiter, mais t’aimes quand même ton quartier posé et tranquille loin de tout le fric qui se devine quand tu vas à Sandyland rd. Tu regardes le paysage, et tu vois bien toutes les belles maisons bourgeoises qui puent à plein nez le fric, mais bon, tu essayes de continuer à courir et de faire le vide, tu fais quand même attention aux alentours, c’est mieux si tu ne veux pas tomber ou faire tomber quelqu’un, en même temps t’es un peu maladroite alors on ne sait jamais ce qui pourrait t’arriver. Et puis t’arrives à un endroit où se trouvent des installations sportives. C’est comme s’il y avait un « vélo », du coup tu te mets dessus et tu commences à pédaler, puis un « marcheur » donc tu marches doucement et puis tu passes d’atelier en atelier, pour ne pas dire de « machine en machine », et rapidement tu te rends compte que quelqu’un a eu la même idée, mais après tout t’étais pas la seule à te lever aussi tôt pour aller faire du sport, à moins de le faire tous les jours. Un jeune homme se trouve déjà en train de travailler ses bras, alors du coup, tu fais mine de t’étirer en attendant qu’il finisse. Il s’adresse à toi en te demandant si tu voulais prendre la place. Tu souris, t’as l’air gênée, t’aimes pas trop te faire remarquer à vrai dire. D’une petite voix, enfin, t’essayes d’avoir une voix normale quand même, tu lui réponds. Non, non, finissez, j’en ferais après. Tu continues à faire mine de t’étirer et tout, et puis, tu jettes des coups d’œil en essayant de ne pas te faire griller, parce qu’on pourra dire que tu mates un peu quand même. Tu ne devrais pas, mais on ne perd rien à regarder après tout, non ?
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du coup à se sentir observé pendant son moment de détente, à lui tout seul, archi tot le matin pour être tranquillou, ça le perturbe on ne peut plus. en bon garde du corps, il le montre pas, bien sûr, il reste sur ses gardes quand il demande à la jeune femme si elle veut l'agrès sur lequel il était, le soleil est à peine lever ce qui veut dire que l'actrice ne sera pas levé avant quelques heures encore, il a le temps, il aime prendre son temps, bien faire son réveil musculaire et la musculation ensuite, de façon efficace sur la durée plutôt que de la gonflette pour l'esthétisme de la chose v'voyez? bref.
il lui a demandé si elle voulait l'agrès, avec sa voix pas réveillée encore, bien rocailleuse du mec qui a pas encore utiliser ses cordes vocales. la voix du grognon de base qu'il est, sans le vouloir pour le coup, y avait aucun reproche ou quoi juste une question basique, droit au but, c'est pas le genre à tourner autour du pot et aligner les mots pour s'écouter parler. il va à l'essentiel. elle sourit, gênée et répond d'une voix presque enfantine, presque apeurée. « Non, non, finissez, j’en ferais après. » il s'exécute, se sentant un peu pris de culpabilité de l'avoir effrayé pour le coup. homme de caverne pas habitué à parler, à part avec leïa mais là aussi ça reste très brut de décoffrage disons, il y met pas les formes. « désolé, j'voulais pas être grossier, et je mors pas promis, sauf si on me le demande. » ew. ew. pourquoi? pourquoi cette fin de phrase? cette phrase ringarde de vieux loser pervers. pourvu qu'elle est pas entendu, par intervention divine. il se relève, faisant mine d'avoir fini histoire qu'elle puisse le faire et passe au suivant sachant très bien qu'il y retournera une fois qu'elle sera parti parce qu'il a pas fini « allez-y la place est chaude » EWWWW. stop. arrête de parler. va t'enterrer dans le sable là. bon sang. barre de traction here he comes, il va bien sur faire le kéké pour pas montrer son embarras.
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Tu prends le temps de t’étirer au maximum, d’oublier ce qui vient d’arriver même si ce pauvre gars c’est pas de sa faute, enfin un peu quand même, mais il n’a pas l’air de se souvenir de ce mariage, surtout que voilà c’est assez original de se marier avec inconnu lors de l’enterrement de vie de jeune fille de sa meilleure amie… Voilà où était le malaise. Tu te retrouves avec une bague à ton doigt, une bague que tu n’oses pas enlever alors que tu ne sais rien de cet homme qui allait partager le reste de ta vie, seulement si vous décidiez de cela sinon un divorce ça pouvait se faire mais tu ne voulais pas en arriver là, comme si tu voulais laisser une chance à ce mariage même si vous ne vous connaissiez ni d’Eve ni d’Adam. Du moins tu voulais au moins apprendre à le connaître, ce serait déjà un début. Enfin, pour le moment, là n’était pas le sujet. Tu étais sortie courir pour te changer les idées et pourtant tu ne faisais que d’y songer, comme si c’était un réflexe. En fait tu repensais à ce qui n’était pas clair dans ta tête parce que le reste de ta vie était clair. Tu aimais ton travail, les patients te le rendaient bien, tu avais une meilleure amie à qui tu disais tout, enfin, pour le coup, tu ne savais pas ce qu’elle allait dire de ton « mariage ». Tu souffles un moment pour faire le vide en toi sinon ta séance ne servira probablement à rien parce que tu reviendras encore plus tracassée qu’en partant. Tu laisses le jeune homme arrivé avant toi terminer avec l’agrès, tu ne veux pas l’embêter, ni faire « celle qui attend », donc tu t’occupes autrement mais, même si tu as tenté de focus sur tes mouvements, tu ne peux pas penser à autre chose qu’à tes « soucis » si on peut appeler ça ainsi. Et puis, alors que tu ne t’y attendais pas forcément, enfin si mais pas aussi rapidement, le jeune homme s’adresse de nouveau à toi en s’excusant d’avoir été grossier et te dit qu’il en a terminé avec l’agrès. Tu secoues la tête avec un sourire avant de lui répondre. Oh non, vous n’avez pas été grossier, ne vous en faites pas. Merci, effectivement c’est bien chaud, reprends-tu en te demandant pourquoi tu as dit ça. Puis tant que vous êtes ici, tu tentes de continuer ce début de conversation. Vous venez souvent ici de si bonne heure ? Ou, comme moi, c’est la première fois ? Puis tu le regardes de nouveau et tu te dis que s’il ne vient pas souvent ici, il doit faire du sport ailleurs, et plus que toi au vu de sa musculature.
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« Oh non, vous n’avez pas été grossier, ne vous en faites pas. Merci, effectivement c’est bien chaud »
bon. au moins c'est pas le seul à galerer avec les interactions sociales de bon matin c'est réconfortant… ou alors elle a juste dit ça parce que sa phrase était bizarre et impossible à rebondir.
arrête de te poser des questions luke, t'es pas fait pour ça.
« Vous venez souvent ici de si bonne heure ? Ou, comme moi, c’est la première fois ? »
continuant ses tractions, il se demande s'il doit dire la vérité, ça serait en dire trop ou pas assez, elle doit bien se demander pourquoi il met autant de temps à répondre à une simple question qui se résout par oui ou par non.
« pretty much tous les jours… mais ça se voit pas que c'est votre première fois! »
… pourquoi ce commentaire. luke. pour-quoi…. vraiment à s'en foutre des baffes. incapable de tenir une conversation normal, quel tocard.
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