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Titre du sujet : back to december. ((ft jimmy))
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Chiara Bianchi
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Chiara Bianchi



(( i go back to december all the time ))
feat @jimmy bishop

elle s'est laissé quelques jours, la brune, avant d'aller au front. et encore, son aîné a bien tenté de l'en empêcher. il pensait que c'était trop tôt, et il n'a pas tort, dans un sens le bougre. mais elle en a rien à foutre, chiara. parce qu'il est temps, à ses yeux, de connaître la vérité sur toute cette histoire. enfin, sa vérité à lui. lunettes de soleil sur le nez, téléphone dans une main et son sac à main dans l'autre, elle est sortie rapidement de sa chambre d'hôtel. ouais, elle n'a pas l'intention de rester, alors pourquoi choper un endroit à elle ? rapide sourire aux lèvres lorsqu'elle quitte les lieux, les talons claquant sur le sol. elle aime bien la californie, et elle aurait pu y vivre si elle était venue en d'autres circonstances. parce qu'elle est pas là pour les vacances, même si c'est ce qu'elle a fait croire aux géniteurs. ils lui foutent déjà bien la pression, alors elle ne voulait pas en rajouter. et puis, ils seraient sûrement venus avec leurs gosses et ça, non merci. elle a besoin de souffler, chiara, même un peu loin des parents, des obligations et des remarques cinglantes du paternel. elle a bien failli en venir aux mains, à un moment, avant de barrer en claquant la porte. l'ambiance familiale n'a jamais été aussi géniale, vraiment. tout ça à cause de l'autre idiot. ouais, elle le blâme pour absolument tout, bien qu'elle sait qu'il n'est pas le seul responsable. mais c'est plus simple. elle jette un rapide coup d'œil sur son téléphone, au moins, elle a une adresse. parce qu'elle a cuisiné la jeune sœur de jimmy, pour savoir où il était rendu. elle a obtenu le nom de la ville avant de demander son adresse. elle n'a pas l'intention de le rencontrer par hasard, alors autant aller le voir chez lui. c'est peut-être pas l'idée du siècle, mais au moins, ça sera chose faite. elle se perd dans le quartier, chiara et heureusement qu'il n'était pas dans le coin, l'autre abruti. ouais, elle a beaucoup de surnoms mégas cute pour lui depuis quelques mois. elle secoue la tête. trop dans ses pensées pour s'apercevoir qu'elle est devant la porte. les noms qui collent bien avec la personne qu'elle recherche. alors elle frappe, la brune, quelques coups donnés sur la porte avant que celle-ci ne s'ouvre. au moins, elle est tombée sur lui directement, une chance nan ? - salut. elle a pas envie de laisser paraître quoi que ce soit, alors elle garde ses lunettes comme mini-bouclier. et la voix, elle est monocorde. elle a pas envie de lui demander comment il va, nan, elle s'en fiche complet. et parce qu'il a l'air de bien s'amuser, depuis qu'il a quitté l'italie. depuis qu'il l'a quitté, elle. - j'viens te rendre ça. faux. elle a envie de la garder, cette bague. elle n'a pas envie de lui rendre, de s'en séparer. la bague qu'elle aurait dû porter, il n'y a pas si longtemps. alors elle l'a enlevé, lorsqu'il a disparu. mais elle n'a pas pu se résoudre à la rendre, pas avant maintenant. et encore, ce n'est que le moyen de lui parler. de connaître sa version des choses, histoire de savoir si elle le déteste ou non. - t’as des explications ? elle croise ses bras sur sa poitrine, attendant le moindre mot sortir de la bouche du principal intéressé. il sait de quoi elle veut parler, s’il est pas con. et elle se dit que c'était pas forcément une bonne idée, finalement, que de le revoir. elle se sentait prête, chiara, avant de regarder un peu trop longtemps les prunelles de celui qu'elle prêtant ne plus aimer.
 
Jimmy Bishop
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Jimmy Bishop

« Ah au fait, si ça toque pendant que je suis pas là, j’ai organisé une fête ce soir, tu les fais entrer surtout, merci, je t’aime t’es un vrai pote. »
Il avait pas eu le temps d’en placer une Jimmy avant que son meilleur ami quitte la pièce, il lève le pouce — pour lui même du coup. Lui qui pensait pouvoir chiller pendant que Mat était pas là — et par chiller i mean atterrir malencontreusement sur le profil insta de Chiara pour voir si elle postait des nouveaux trucs et y allait la boule au ventre de peur de la voir souriante au bras d’un autre. Ouais je sais on a pas la même définition de détente. Il aurait pu aller surfer aussi mais bon pour ça il aurait fallu qu’il se bouge le cul. Déjà faut qu’il se bouge pour se faire beau, parce que fête dit tenu de lover pour pas se faire engueuler par Mat. It’s a whole thing… il avait presque hâte à la saison des pool party pouvoir juste s’habiller d’un short de bain et call it a day.  bref. Il a à peine le temps de finir de se changer, chemise mal boutonnée, qu’on tape à la porte. « J’arriiiiive » Il se recoiffe en passant « Benvenuto a casa di m—» il finit pas sa phrase, si on était dans un film un verre lui tomberait des mains pour exprimer sa surprise, mais y a juste sa mâchoire qui tombe en soufflant « Chiara » — ferme ta bouche tu va gober les mouches bishop. « t’es magnifique » et toi t’es con si tu crois qu’un compliment aussi plat va rattraper le coup. Mais c’est sorti tout seul de sa bouche, désemparé, pas préparé à la voir débarquer sur le pas de sa porte. oh bien sur il s'est imaginé plus d'une fois ce qu'il lui dirait, s'il la revoyait un jour, s'il avait le cran d'aller la voir pour tout lui expliquer, pour la récupérer, réparer ce qu'il a fracassé. mais il avait plus de mots. le salut, froid, glacial, lui remet les pieds sur terre, elle est pas là pour reprendre là où il avait tout arrêté, évidemment que non, c'est pas un sourire sur son visage d'idiot qui allait de façon magique réglé la situation. il savait bien au fond qu'il le méritait pas de toute façon. elle vient lui rendre sa bague. tout ce qu'il voit c'est qu'elle a encore sa bague, qu'elle l'a pas jeté dans la méditerranée, donc ça compte encore un peu pour elle non? — fais toi des films jimmy. celui-là finit pas par un "et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". il reste là à regarder la bague comme un con il veut pas la récupérer, sa tête fait un non, non controlé. « je. euh. » bah alors il est où le beau parleur, laissé en italie apparemment? il grimace vraiment il y tient pas à récupérer cette bague. il devrait, son père le tuerait de ne pas récupérer l'héritage familial. mais si il la récupère alors il admet au monde — à lui même que c'est fini, pour toujours. s'il la récupère then what? il a pas envie de la donner à qui que ce soit d'autre cette foutue bague. non vraiment. gardez là il n'en fera rien. il a le coeur qui tape trop fort dans sa poitrine et le regard qui se repose sur le visage fermé de son ancienne fiancée. barrière devant ses yeux qu'il aimerait pouvoir croisés pour lui dire qu'il est désolé sans avoir à prononcer ces mots qu'on lui a appris comme une faiblesse. « aucune de satisfaisante j'imagine. » parce qu'il a l'a imaginé, cette confrontation et y avait rien qu'il puisse dire qui puisse réparer les dommages qu'il a causé en partant. seulement s'il s'en tient à dire juste ça, elle va s'en aller right? faut qu'il trouve quelque chose à dire et vite « t'es là en vacances ou? » — sérieusement, jimmy c'est tout ce que tu trouves à dire, t'as rien trouvé de mieux?  « tu... tu veux rentrer? » en se poussant de la porte, il sait pas pourquoi il s'attend à une réponse positive quand lui même à sa place il lui mettrait juste une claque et s'en irait. idiot jusqu'au bout.
 
Chiara Bianchi
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elle peine à cacher un sourire satisfait, lorsqu’elle le voit désemparé. bien, au moins, la surprise a eu l’effet escompté. et il prononce son nom, à elle. certes, rien qu’avec ce mot, elle peut se remémorer les moments où elle était encore heureuse. avant qu’il ne l’abandonne. ouais, elle revient toujours à cet événement, le dernier en date dans sa petite vie. et ça serait mentir, que de dire qu’elle ne voudrait pas revenir plusieurs mois en arrière. parce qu’elle a l’impression que c’est aussi de sa faute, s’il s‘est barré. parce qu’elle a rien vu, chiara. trop occupée avec les préparatifs, bien qu’elle était d’accord pour repousser le mariage, et ce à chaque fois. elle avait sa routine, et elle n’a rien vu. alors ouais, elle ressent cette culpabilité alors que c’est pas elle qui a pris la fuite sans un mot. les yeux levés vers le ciel face au compliment. touchée plus qu’elle ne le voudrait lorsque ce genre de propos sort de sa bouche, à jim. parce que des compliments, elle en reçoit plus que nécessaire. mais c’était jamais pareil quand ça venait de lui. pas besoin de répondre à tout ceci. elle secoue la tête. non, elle préfère lui montrer la bague. elle compte bien ne pas repartir avec, même si laisser l’objet va, de nouveau, créer un sentiment de vide. c’est pour le mieux. parce que s’il voulait revenir, il ne serait pas resté aussi longtemps en californie, le blond. et elle n’a pas envie de l’attendre. nan, elle vaut mieux qu’un idiot qui l’a laissé dans sa belle robe blanche. vêtement qu’il n’a jamais vu by the way, sinon, il serait sûrement resté. presque étonnée, que de ne pas le voir répliquer. la surprise doit vraiment être totale. ou pensait-il qu’elle ne viendrait jamais réclamer le pourquoi du comment ? aucune idée. et elle ne cherche pas non plus, la brune. aucune de satisfaisante j'imagine. c’est bien pratique, cette réponse. elle soupire. même pas capable de prendre ses responsabilités. peut-être que c’est mieux qu’il se soit barré ? nope. impossible. vague idée qu’elle préfère sortir rapidement de son esprit. incapable de voir ça comme une bonne chose, qu’il soit parti vivre en amérique sans rien lui dire. - comme si ça pouvait t’intéresser d’le savoir. le pire, c’est qu’elle est sérieuse, chiara. elle ne voit pas en quoi il pourrait en avoir quelque chose à foutre, qu’elle soit ici en vacances ou non. trop froide, maybe, dans ses paroles comme dans ses gestes. le masque de bad bitch bien mit en place pour ne pas ressentir quelque chose. bien droite, la main droite tenant toujours l’objet brillant tandis que la gauche s’accroche à son sac, comme si elle a peur de le laisser tomber. surprise, c’est le cas de le dire, lorsqu’il lui propose de rentrer. étonnent. vraiment. et elle hésite, la brune. parce que ça serait plus simple de le gifler, lui balancer la bague dans la gueule et repartir faire sa vie. et c’est maybe ce qu’elle devrait faire, après tout. pourtant, elle en décide autrement. - t’as un problème avec ta chemise. paroles prononcées alors qu’elle entre chez lui. peut-être pas l’idée du siècle, que de rester. elle va s’en mordre les doigts, mais elle est venue pour des explications. et il devrait le savoir mieux que personne, le bishop, qu’elle obtient généralement tout ce qu’elle veut, chiara. - alors, pourquoi tu t’es barré ? enfin, les lunettes se retrouvent sur le sommet de son crâne, et elle s'autorise à le regarder. prunelles froides au possible, merci maman pour le tips qui lui permettent de faire comme si elle ne ressent rien, à cet instant. ce qui est pourtant loin d’être véridique, parce qu’elle aurait simplement envie de lui sauter au cou. et il a pas changé, enfin, pas énormément. - et j’veux de vraies explications, pas de bullshit. prunelles tournées vers lui, elle compte bien faire en sorte qu'il ne la prenne pas pour une débile. parce qu'elle le connaît trop bien, ses manières et mimiques lorsqu'il peut mentir. et qu'elle va repartir avec la vérité, la brune. - comme ça on pourra faire nos vies chacun de notre côté. elle en a pas envie, mais alors pas du tout. mais c’est plus simple, que de le dire, que d’attendre de voir ce qu’il va répondre à ses propos.
 
Jimmy Bishop
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Jimmy Bishop

il est comme un con. si y a bien une personne qu'il s'attendait pas à voir à sa porte c'était bien chiara. pourtant c'était la personne qu'il avait le plus envie de croiser, au fond. au fond, derrière son apparence de italien tout droit sorti d'un film cliché, derrière son égo qui a peur de se faire jeter (à raison cela dit). derrière tout ça, il voulait juste la prendre dans ses bras et lui dire qu'il est désolé, se mettre à genou et lui sortir un monologue à faire palir shakespeare pour la récupérer. mais non il reste là comme s'il avait vu un fantome parce qu'il peut presque entendre son père lui dire "essere un uomo" (selon google, traduction de "sois un homme" en italien). la définition de l'homme du paternel, toute une histoire. il est palot le jimmy, malgré les heures qu'il passe au soleil. si mateo était là il se foutrait de sa gueule. ou il mettrait de l'huile sur le feu. il reste la comme un con à la bouffer du regard comme si c'était la dernière fois qu'il la voyait et qu'il voulait se graver son visage sur la rétine. — en vrai c'était pas impossible que ce soit la dernière. elle vient lui ramener sa bague après tout. y a rien de plus final que ça, si?
il se sent con de penser tout ça. genre? évidemment qu'elle est en colère. evidemment qu'elle s'en fout de ta gueule et qu'elle veut juste te rendre ta bague, tu t'attendais à quoi en te barrant à l'autre bout du monde? qu'elle te court après et te saute au coup, c'est pas une romcom jimmy, c'est la vraie vie et t'as merdé, t'as pas le droit à un get out of jail free card, son coeur c'est pas un jeu. idiot.
idiot meme pas capable de te justifier. tu lui dois au moins ça, la vérité non? c'est pas toi la victime dans l'histoire jimmy, arrête d'agir comme si ça l'était. t'as pris une décision merdique, sur des conseils merdiques mais c'est toi qui a pris la décision. assume.
non il préfère répondre — aucune de satisfaisante pour pas se casser la tête. t'as peur de quoi jim?
il arrive pas à rétorquer quand elle lui répond comme si ça pouvait l'interesser de le savoir. bien sur que si ça l'interesse, ya pas cinq minutes il était à stalker son instagram à se rappelant à quel point il était con. mais il peut pas lui dire ça, il en a pas le droit même s'il le voulait. « j'voulais juste être poli, easy tiger. » t'es con? ou t'es con? juste pour savoir. il met meme pas d'énergie dans sa voix. boxeur à terre. sur la défensive. pourquoi tu mets cette barrière devant toi, idiot, pour la faire fuire, t'as pas besoin de te donner autant de mal.
elle accepte pourtant de rentrer quand il le lui propose. il marche sur des oeufs, un petit croche pied le fait vasciller quand elle lui dit qu'il a un problème avec sa chemise. « of course i do » qu'il se dit à lui même tant qu'à être un idiot, autant qu'il ait l'air d'un idiot, histoire de compléter le package, il déboutonne et reboutonne sa chemise en la laissant entrer d'ordinaire il aurait pris son temps pour qu'elle puisse savourer ce qu'il se passe sous la chemise mais quelque chose lui disait — allez savoir pourquoi — que c'était pas ce qu'elle était venu chercher. « fais comme chez toi. » qu'il dit, sincèrement, il lui doit au moins ça, de la mettre à l'aise. « vino mancini? » qu'il dit en se sortant deux verres machinalement et le vin de la compagnie de son coloc, une vraie pub ambulante le type, meme dans les pires moments. il se sert un verre et en prend une gorge tandis que les phrases cinglantes de son ex fiancée viennent porter des coups sur sa muraille fébrile. affaiblie d'autant plus quand elle lève ses lunettes et qu'il peut poser ses yeux dans ceux de la brune et ne semble y trouver que du mépris — mérité, mais qui fait mal quand meme — la façon qu'elle avait de le regarder, avant, lui manque, cruellement, et il est le seul fautif. « t'as raison... » pas une phrase dite pour se débarasser. pensée. «  tu mérites des explications. j'suis juste pas sûr qu'elles vaillent le trajet » comme si tu lui avais laissé le choix en te barrant sans ton portable. « je— » il soupire, pourquoi c'est si dur pour lui de vider son sac, de s'expliquer? surement parce qu'il avait peur de la réponse. « je— » mais encore? y a rien qui sort, il fuit son regard qu'il avait tant chercher quand elle est arrivé, il se tourne vers le jardin pour pas la regarder. hausse les épaules. nouveau soupir en cherchant ses mots. reprend une gorgée se frotte le sourcil. « j'ai pris peur ok? » pas besoin de prendre un ton aussi agressif, on dirait un chaton qui se met dans le coin de sa cage et qui crache quand on essaye de l'approcher pour le caresser. « depuis l'âge de quatre ans on me dit que je dois t'épouser et j'ai pris peur. j'me suis dit qu'est-ce que je fous à épouser quelqu'un parce qu'on m'a dit que je devais le faire. et c'est con, je sais que c'est con ok? je sais que c'est con parce que j'avais envie de t'épouser. pas parce qu'on me l'avait imposer mais parce que je t'aime — j't'aimais. mais pas comme ça, pas parce que nos parents veulent qu'on se marie. j'avais envie de vivre ma vie pour moi, pas pour eux. j'ai été con. je sais et t'as tous les droits de me haïr. j'aurais pas du partir comme ça mais — j'l'ai fait et j'avais pas les couilles de revenir et de te dire tout ça après ce que j't'avais fait. tu vois. c'est pas satisfaisant comme explications. » il se rattrape avec j't'aimais, enièment tentative de se protéger. parce que le passé pour ce verbe n'est vraiment pas d'actualité en réalité.
 
Chiara Bianchi
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le regard glacial tourné vers le principal intéressé, même s’il ne peut pas voir ses prunelles protégées par ses lunettes. elle en a rien à foutre de sa politesse. alors elle passe la porte sans rien dire, mise à part qu’il a merdé en enfilant sa chemise. et elle détourne le regard alors qu’il règle le problème. chiara, elle a jamais été aussi fermée avec lui, parce qu’elle a jamais eu besoin de le faire. l’attitude de bad bitch réservé aux personnes détestées, et mon dieu qu’elles sont nombreuses, les personnes qu’elle ne peut pas voir en peinture. elle a pas envie de faire comme chez elle. elle a pas non plus envie de boire le vin de son meilleur pote. parce qu’elle a pas envie d’avoir de l’alcool dans le sang, et de faire la connerie de revenir vers lui, chose très probable après quelques verres du liquide italien. - nan merci, j’vais pas rester longtemps de toute façon. elle ne va pas s’attarder la brune. elle est venue pour des explications, et elle va très certainement se barrer après avoir eu ce qu’elle voulait. enfin, elle tente de s’en convaincre, pas certaine d’avoir la force de partir une fois qu'elle aura ce qu'elle veut.

- putain j’ai jamais vu un mec aussi con. elle est pas obligée de l’insulter, en vrai, mais c’est sorti tout seul, après le monologue du mec qu’elle était censée épouser. et elle le pense d’un côté, qu’il n’est qu’un débile profond. et il a raison, c’est pas suffisant. elle l’aurait envoyé chier royalement s’il était revenu en italie, prononcer quelques mots qu’elle n’aurait pas pensés juste pour le blesser comme il a pu la blesser. heureusement pour elle, il a préféré se terrer en californie. elle soupire, chiara. elle pense bien à l’incendier. à prononcer des paroles qu’elle ne pense absolument pas, et à quitter les lieux de façon théâtrale comme elle fait très bien le faire. et ça serait maybe la solution, que de se barrer. le pincement du myocarde quand il se rattrape, prononce ce mot au passé. mais c’est maybe pour le mieux, finalement. bullshit, elle le pense pas. chiara, elle préfère ne pas trop y réfléchir parce qu’elle pas envie de penser qu’il pourrait encore avoir des sentiments. nan, elle veut pas le savoir. faux. elle a pas envie de retomber, parce que la confiance qu’elle avait en lui s’est brisée dès le moment où elle a appris son départ. elle secoue la tête. qu’il est con ce mec. - parce que tu crois que j’avais pas peur ? que j'me suis pas posée les mêmes questions ? bordel jim j’étais dans la même situation, on était deux dans cette merde j’te rappelle. parce qu’elle aussi a dû subir les paroles des géniteurs, quant à ce mariage et ce depuis l’enfance. et c’était pas plaisant, que de voir sa vie planifiée ainsi. elle a jamais aimé ça, mais le choix n’était pas vraiment le sien en réalité. elle secoue la tête. elle a paniqué, pas longtemps avant le mariage. mais elle ne s’est pas barrée, elle. nan, sa meilleure amie l’a rassuré et tout est revenu dans l’ordre. elle a bien pensé à partir quelque temps, mais elle ne s’est jamais imaginée quitter l’italie sans lui. pas une seule fois. - et t’as raison, c’est pas suffisant. ça le sera jamais. elle secoue la tête. rien de ce qui pourra dire ne pourra changer le fait qu’elle a dû assumer la fuite du blond. qu'une partie d'elle le déteste pour ce qu'il a fait. - tu peux dire n’importe quoi, ça enlève pas le fait que tu m’as laissée dans la merde. et que tu m’as brisé le cœur, connard. mais elle s'abstient de prononcer de telles paroles. elle lui en veut. pour toutes les merdes qui sont arrivées après l’annonce de l’annulation du mariage. et putain, c’était pas une partie de plaisir que de tout gérer seule. - parce que j’ai dû tout annuler à la dernière minute en justifiant le pourquoi du comment. parce que mes parents et les tiens ne se sont pas gênés pour me foutre tout sur le dos dès le moment où tu t’es barré. alors qu’elle a rien fait, en soit. elle a bien tenté de l’appeler, avant que la sœur du blond ne débarque avec son téléphone en main. elle était dans une impasse, chiara. au courant de rien, elle s’en est pris plein la gueule. et elle n’est pas certaine de pouvoir lui pardonner. - et pendant ce temps-là, toi, tu vivais ta best life ici. le ton de la voix qui se fait plus fort, raisonne dans la pièce, parce que la colère est belle est bien présente. et elle peut se lire dans ses prunelles. main dans la chevelure, elle tourne les talons, marche quelques pas parce qu’elle a pas envie de le regarder. parce qu’elle a besoin de penser ses prochaines paroles et que la situation lui semble bien compliquée. trop compliquée. le silence qu’elle laisse s’installer, avant de se retourner. - si tu m’en avais parlé on en serait pas là. pointe de tristesse dans les paroles. elle joue avec la bague qu’elle a toujours en main, parce qu’elle a besoin de s’occuper. parce qu’elle ne veut pas partir, bien qu’elle le devrait, que ça serait la meilleure chose à faire.
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Jimmy Bishop

you know, quand il était en couple, il aimait la voir faire sa bad bitch, voir la froideur qu'elle pouvait avoir envers les autres pendant que lui il avait le bras autour d'elle pour dissuader quiconque voudrait faire des représailles. dans sa tête il était that's my girl quand il la voyait, être fière, forte, pas avoir besoin de lui pour se défendre. mais être du coté de celui qui recevait la froideur c'était violent. d'autant plus violent qu'il savait mériter ce traitement de la part de l'italienne.
il encaisse les répliques froides, combat de boxe qu'il est en train de perdre. « j'demandais juste. » il a pas sa répartie habituelle jimmy, il a pas la force de se battre contre elle parce qu'il a pas envie de lui faire mal, plus qu'il ne l'a déjà fait that is. la violence il l'avait déjà eu en partant comme un lâche, c'était un battant, un verbeux, mais ça c'est quand il est convaincu d'avoir raison (qu'il est raison ou pas d'ailleurs) mais là... là c'était bien une des rares fois où il sait qu'il a tord et le jeu de se battre en vaut pas la chandelle. la faire souffrir d'avantage vaudrait vraiment pas le coup. alors il s'applatit comme un chien qui fuit le regard de son maître quand il a fait une connerie.

il fait ses explications son monologue pathétique. elle répond qu'elle a jamais vu un mec aussi con et il peut que hocher de la tête pour acquiesser, ouais il était arrivé à peu près à la meme conclusion après quoi, trois jours ici? mais c'était déjà trop tard quand il s'est repris et il se pourrit depuis. honnêtement, retrospectivement, con c'est même gentil, il pense pas qu'il aurait été aussi "poli" à sa place. il ajoute rien, tête basse, il a fait son monologue, ils ont tous les deux besoins de reprendre leur souffle à priori suite à tout ça. il a la machoire qui se sert quand elle lui dit qu'elle avait peur aussi, qu'ils étaient deux. il en chialerait probablement plus tard en y repensant pour le moment il fait le barbot avec le peu de force qu'il a en lui face à elle. il sait tout ça, il le sait trop, il n'a de cesse de se repéter qu'il aurait du juste lui parler au lieu de se tourner vers la solution de facilité et de demander à mat quoi faire plutot que penser par lui même. — ironique quand on sait qu'il voulait pas épouser chiara parce qu'on lui a dit de le faire, hein? idiot. « je sais. » non il a même pas la descence de ne pas dire un mot, de la laisser faire son monologue à elle pour process la betise qu'il vient de lui dire. il peut pourtant pas s'empecher de se tourner pour lui faire face à nouveau, soupson de courage sortie d'on ne sait où.  « je sais » qu'il répète quand elle lui dit que non en effet ses explications sont pas satisfaisante. il fait un pas en avant, il sent qu'elle est pas bien et son instinct premier c'est de vouloir se rapprocher pour la prendre dans ses bras, elle le frappera si elle le souhaite, si ça peut lui faire du bien, si ça peut l'apaiser il encaissera, il l'avait mérité de toute façon. ça marche comme ça dans les films non? après tout irait bien. « je sais... » voix plus douce, apaisante tandis qu'il s'approche encore quand elle dit que quoi qu'il dise ça effacera rien. sauf que la suite — il savait pas, il y avait meme pas penser. au fait que leurs parents s'en prendraient, évidemment, à la seule personne qui restait. il y avait pas penser. non il avait penser qu'à sa gueule, son mal-etre, ses doutes. abruti fini, pas digne d'être son mari. il s'est arrêté. là à moins d'un metre d'elle comme arrêter par une muraille invisible. « je savais pas... j'y ai pas réfléchi, j'suis désolé... » il secoue la tête. « c'est con, je sais que ça sert à rien de dire j'suis désolé ça défait rien c'est vide. mais j'ai pas de meilleur mot. » il s'énerve contre lui-même. vraiment. passable irrité face à sa propre connerie quand il pensait avoir touché le fond, turns out y avait encore une couche. « j'parlerais à mes parents, et au tien si besoin, je — dis moi ce que je peux faire et jle ferais » il leur avait pas parler à ses parents, c'était les dernières personnes avec qui il avait envie de parler en fait. mais ça non plus ça resoudra rien, ça réparera rien et il le sait trop bien. il laisse échapper un soufflement/rire du nez, quand elle dit que pendant ce temps là il vivait sa meilleure vie. c'était pas vraiment le cas, sure instagram makes it look like it et il pouvait amuser la galerie et le faire croire mais elle qui le connaissait mieux que personne — peut-être meme mieux que mat' aurait vu clair dans son jeu si elle avait été là. mais il rétorque pas. il se dit qu'il mérite qu'elle le haisse, qu'elle a besoin de le hair pour passer à autre chose et être avec quelqu'un qui la mérite. (mérite mérite mot qui raisonne dans sa tête et dans toutes ses reflexions comme si il fallait qu'il mérite d'exister, qu'il mérite d'être aimé, pensée sournoise insinuée par ses parents, tout au long de sa vie — si tu savais que t'as le droit d'exister et t'as le droit à l'amour comme n'importe qui d'autre jimmy, peut-être qu'on en serait pas là). « j'aurais du... j'aurais du » abattu qu'il répond en regardant le sol en se mordant la joue pour pas craquer une larme.
 
Chiara Bianchi
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pas du tout convaincue par le monologue du blond. c'est pas assez, comme explications. elle ne pourra jamais se satisfaire de ça, ni même le pardonner ou d'oublier ce qu'il a fait. parce qu'elle a encore mal, et c'est pire depuis qu'elle est arrivée en ville. la myocarde qui se serre depuis qu'elle a croisé son regard, parce qu'elle ne pensait pas pouvoir être aussi mal en le voyant. toujours en colère, et encore plus lorsqu'il ne prononce que deux mots. il mérite vraiment des claques ce gosse. - comment tu peux le savoir, t’étais pas là jimmy. elle lui en voudra probablement quelque temps, encore. incapable de vraiment passer à autre chose. parce que c’est pas qu’un vulgaire mec qui s’est barré, nan. il a toujours été beaucoup plus que ça, à ses yeux. jim, c’est sa moitié, ou c’était. elle n’est plus certaine de rien. seule chose actée, c’est l’annulation du mariage. et la fureur des géniteurs, également. elle secoue la tête lorsque son téléphone vibre. elle n’a pas besoin de voir le nom qui s’est affiché sur l'écran, l’italienne, elle sait que ça doit être sa mère et ses appels quotidiens. elle soupire, face aux deux mots qu’il ne cesse de réparer. elle a envie de le baffer, elle ne s’est jamais autant retenue depuis la fois où une meuf c’est trop approchée de lui, il y a quelques années. ouais, fallait pas la faire chier à cette époque-là. surtout quand une fille draguait ouvertement son mec, même s’ils étaient pas officiellement ensemble. - nan, tu sais rien, et c’est justement ça ton problème. elle hausse le ton de sa voix, peut-être parce qu’ils sont plus proches, pour qu’il puisse bien entendre ses prochaines paroles. les prunelles plantées dans les siennes, parce qu’elle est incapable de regarder ailleurs. - si tu le savais tu te serais pas barré à l’autre bout du monde sans rien dire, sans prévenir personne, sans me prévenir. tu m’aurais pas abandonnée. parce que c’est le sentiment qu’elle a, depuis quelques mois, l'italienne. qu’elle a été complètement abandonnée par la seule personne qu’elle n’a jamais aimée. et c’est sûrement ça, qu’elle a beaucoup de mal à comprendre, comment a-t-il pu partir alors qu'il lui a promis d'être toujours là. - et ça fait mal de savoir qu’on a pas compté pour quelqu’un. mais ça tu peux pas le savoir, parce que t’es pas dans ma position. presque prête à verser quelques larmes, elle se retient, pour ne pas s'effondrer sur le sol. nan, hors de question qu'il la voit ainsi. elle se demande encore si elle a compté à ses yeux, si les années passées n’étaient qu’une vaste blague. et ça serait peut-être mieux, que la réponse soit positive, pour qu’elle puisse passer à autre chose le plus rapidement possible. c’est toujours le but, de base, que de le laisser derrière elle. les sourcils se haussent alors qu’il souffle du nez. quoi ? il a pas vécu sa best life ? elle ne peut pas dire qu’elle est triste pour lui, bien au contraire. le soupire transperce ses lèvres de nouveau. comme si elle a besoin qu’il merde encore une fois. elle en a rien à foutre de ses excuses, incapable de les accepter à ce moment précis. - nan, t’en as déjà assez fait, alors reste en dehors de ça j’vais tout gérer. elle n’a aucunement envie qu’il parle à ses géniteurs. nan, ça foutrait encore plus la merde. elle va régler le problème seule, parce que, visiblement, elle ne peut plus compter sur lui. et elle déteste penser ça, qu’il n’est plus la personne en qui elle pouvait avoir une confiance aveugle. - tu sais très bien que tu peux rien faire, ça sert plus à rien maintenant. elle secoue la tête. y’a rien qu’il puisse faire pour arranger les choses. absolument rien. parler aux parents foutrait encore plus la merde, parce qu’ils voudraient encore du mariage et qu'ils ont les moyens d'obtenir ce qu'ils veulent. et chiara, bien qu’elle ne puisse nier ses sentiments, serait incapable de porter le nom de bishop après tout ce qu’il s’est passé. il aurait dû venir la voir, ouais, ça aurait été plus simple pour tout le monde. et ils en seraient pas là, très certainement pas mariés mais pas séparés non plus. - la californie te réussit pas on dirait. sarcasme dans les paroles, vraiment y’a quelque chose qui cloche. parce que c’est pas le jimmy qu’elle connaît depuis toute petite. et elle s’en voudrait de partir comme ça, alors qu’elle voit très clairement qu’il ne va pas bien. parce que les sentiments sont encore présents, et qu’elle voudrait simplement pouvoir le réconforter. mais elle préfère se tenir à distance, pour se protéger elle-même, sachant très bien qu’elle pourrait faire une connerie. - j’vais prendre de ce vin, finalement. parce qu’elle peut plus rester sobre face à lui. ouais, pas la meilleure idée de sa vie, mais c’est soit ça, soit elle se barre pour ne plus revenir. et elle a pas envie de repartir, chiara, pas maintenant, pas alors qu’il a l’air au plus mal.
 
Jimmy Bishop
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Jimmy Bishop

comme un môme à chaque fois qu'il est face à chiara, ça a pas changé depuis toutes ses années, il est toujours le gamin de quatre ans qui est aussi émerveillé qu'effrayé devant l'italienne. il savait pas quoi dire. comme il l'avait dit plus tôt, il n'était que trop conscient que quoi qu'il puisse dire ça arrangera pas la situation, ça excusera pas ce qu'il a fait. il avait eu du temps pour se rendre compte de ça, faire son deuil entre guillemets de cette relation qui serait plus jamais comme avant. parce que la vie c'est pas un film ou tu mets la bouche en coeur et tu dis que t'es désolé et pouf, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. j'suis désolé c'est pas des mots aussi magiques que ce qu'on lui avait appris. alors il dit rien. un comble pour l'italien qui d'ordinaire ne sait pourtant jamais fermé son clapet. il a ses deux neurones qui s'atèlent à vouloir trouver les mots pour apaiser celle qu'il ne cessera jamais d'aimer, et son coeur qui se brisent en mille morceaux à chaque mot par sa propre faute. un beau combo. il sentait bien que la conversation devait stérile, ne menait à rien, parce qu'il n'était pas convaincant et elle ne voulait pas attendre.
il devait se battre contre tous ses instincts pour ne pas la prendre dans ses bras. pour ne pas poser ses mains sur les joues de chiara et la regarder droit dans les yeux et lui dire, je t'aime, j'm'en irais plus, et reprends moi jferais tout pour toi, c'était jamais contre toi. il se bat pour ne pas lui dire je t'aime en se mettant à genou. parce qu'il y a la voix de ses parents, be a man, soit macho, costaud, fier, la tête haute.
il garde la boule bloqué au fond de la gorge que tout l'alcool du monde ne saurait faire couler.
il aurait voulu continuer à rester silencieux. il aurait voulu continuer à encaisser "comme un homme" whatever that's supposed to mean jusqu'à ce qu'elle dise qu'elle a pas compté pour lui. «  c'est ce que tu crois? que t'as jamais compté pour moi? chiara non... » il arrive pas — cet imbécile fini — à se dire que c'est ce qu'elle croit, genre ouais les évidences sont là, fin il comprend le cheminement de pensée mais la conclusion est si erronné qu'il arrive pas à comprendre qu'elle puisse le croire. «  t'as toujours été la seule personne qui a toujours compté. it's always been you, since i was 4, jsais meme pas comment faire any of it without you, comment fonctionner ou me projeter dans l'avenir sans toi, it's always been you chiara. » et ça le sera toujours malgré leur circonstance, malgré tout ça, peu importe si c'est fini ou pas le constat sera le meme, c'est et ça sera toujours elle la femme de sa vie. «  no one compares. ever. » il sait, il a vécu quelques jours/semaines the single life, la soit disant belle vie de célibataire, mateo lui a présenté toutes les plus belles filles du coin, meme des célébrités pendant une virée à los angeles et — y avait qu'elle dans sa tete. «  jdis pas que tu devrais me reprendre, que tu devrais tout oublier, parce qu'au fond je sais que je le mérite pas, mais je peux pas te laisser un seul instant, chiara giuliana bianchi, croire que t'es quelqu'un qui compte pas, qu'on oublie facilement, de remplaçable, parce que c'est pas et ça sera jamais le cas. »  il sait qu'il y a peu de chance qu'elle lui fasse un jour confiance, qu'elle lui pardonne, mais il peut pas s'empecher de malgré tout vouloir la protéger, de vouloir faire taire les voix dans la tete de l'italienne qui lui dise qu'elle est pas assez bien, voix installées là par leurs parents, par lui sans le vouloir.
jimbo, incapable de savoir gérer seinement ses emotions acte # 435354 apparemment. après le jimbo qui s'enfuit parce qu'il a peur sans prendre sous son bras sa dulcinée. jimbo qui a envie d'aller s'énerver sur ses parents, probablement trop violemment croyant que ça résoudrait tout d'un coup de baquette magique. vite rembaré par la voix de la raison qu'à toujours été chiara dans sa vie. — mais quand meme ça ferait du bien de s'enerver sur ses geniteurs qui ont été une grande partie de comment ils en sont arrivés là. «  laisse moi aider... please. c'est le moins que je puisse faire... » comme si elle allait le laisser faire, elle avait déjà du mal à accepter son aide parfois, avant qu'il ne merde alors maintenant, il ne peut que comprendre qu'elle n'en veuille pas, mais il l'accepte pas pour autant. «  il doit bien y avoir quelque chose que jpeux faire... » etape whatever number du deuil : le déni. yep.
les vagues de tristesse, de désespoir qu'il sait pas gérer et transforme en colère froide parce qu'il sait pas faire autrement et c'est ce qu'on lui a appris. un nouveau souffle du nez au sarcasme de chiara. il sent qu'elle va partir, que ça sert à rien tout ça et pour la premiere fois depuis qu'il est parti il est devant le fait accompli que c'est fini fini, qu'il peut plus être dans le déni, qu'il a tout gaché. il a presque envie qu'elle parte pour qu'il puisse aller pleurer et taper dans ses coussins pour pas casser les murs du logement de son meilleur ami. parce que ouais. c'est pas chez lui. il a plus de chez lui. il a plus rien.
il a du mal a cacher, il a la machoire crispé. il a envie de gueuler pour enlever le point qu'il a sur la poitrine. mais il reste là, le regard fuyant. impuissant.
il ajoute pas un mot et lui sert un verre de vin comme elle l'a demandé. quasi prêt à se le prendre en pleine face. priant presque que mateo revienne ou que les invités de la soirée qui est censé se faire arrive. mais le destin a pas l'air de vouloir lui faire des faveurs, pas cette fois.
 
Chiara Bianchi
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le myocarde se brise alors que les paroles sont prononcées. elle cesse de battre quelques instants. parce qu’elle s’est toujours refusée à l’avouer tout haut. qu’elle n’a pas dû compter, pour qu’il puisse se barrer du jour au lendemain. elle a préféré le croire, parce qu’il est plus simple de se convaincre que le mec qu’on a toujours aimé n’est qu’un connard, histoire de tourner la page plus facilement. le déni à peine voilé, en vérité. préférant penser qu’elle a réussi à avancer et à l’oublier, alors que c’est l’un des plus gros mensonges de sa vie. ouais, parce que c’est pas simple de l’oublier. parce que même s’il était le plus gros des asshole, une partie d’elle ne pourra jamais cesser de l’aimer et elle le sait, chiara. ce qui pourrait expliquer pourquoi elle n’est pas encore partie ou qu’elle ne lui a pas foutu sa main dans la gueule. pourtant, ça pourrait maybe lui faire du bien, que de le frapper. mais c’est pas son genre, nope, elle préfère les mots à la violence physique. merci maman, que d’apprendre à tes gosses l’art de la violence morale et émotionnelle. elle sait où appuyer pour que ça fasse mal, chiara. pourtant, elle ne peut s’y résoudre, parce qu’une partie d’elle le comprend malgré tout. elle secoue la tête. bordel, elle est presque attendrie par les paroles du blond. même sur le point de verser quelques larmes, qu’elle retient avec difficulté, d’ailleurs. non pas qu’elle n’ait jamais pleuré devant lui, mais c’était avant. avant qu’il se casse sans un mot. pilule difficile à avaler, même après plusieurs mois. pas certaine de pouvoir lui pardonner un jour, d’ailleurs. mais c’est sans réelle surprise qu’elle pense à une deuxième chance. parce qu’elle ne voudrait pas que ça se termine ainsi. mais c’est trop tôt. beaucoup trop tôt. nope, elle a l’intention de lui faire payer, ça c’est le but, elle a pas encore tous les détails de son plan. elle préfère ne rien ajouter, parce que les réponses qu’il pourra apporter ne seront jamais suffisantes. parce qu’elle ne pourra jamais complètement comprendre comment il a pu l’abandonner sans rien dire. les iris se détachent des siennes, parce qu’elle sent qu’elle ne pourra pas tenir très longtemps si elle continue de le regarder.

et les larmes disparaissent face aux paroles du blond. putain mais il comprend vraiment rien lui. - ça sert absolument à rien et tu le sait. rien ne va s’arranger si tu t’en mêles, bien au contraire. j’suis certaine que ça va être pire pour nous deux. elle lève les bras au ciel. quelques jurons italiens pour accompagner le tout. c’est beaucoup mieux s’il reste en dehors de ça. elle a pas envie de devoir le gérer en plus des parents. nope, hors de question. elle a pas besoin de ça en plus. surtout qu’il va encore foutre la merde, alors non merci. - et j’ai pas besoin de ton aide, même si c’est si gentiment proposé mais un peu tard j’dois l’avouer. sarcasme, de nouveau, seul moyen de défense lorsqu’il se retrouve en face d’elle. beaucoup mieux que de fondre en larmes, chose qui risque d’arriver plus vite que prévu. parce qu’elle peut contrôler ses émotions, mais pas super longtemps. incapable de le regarder droit dans les yeux, désormais, priant presque pour que le gamin mancini débarque pour qu’elle puisse se barrer sans rien ajouter et faire comme si cette discussion n'a jamais eu lieu. maybe retourner en italie au passage, histoire de le dégager de sa vie pour de bon. plus simple à imaginer qu'à faire, elle en serait incapable, de le rayer de sa vie et faire comme s'il n'a jamais existé.

pas l’idée du siècle, que de rester, she knows it. mince sourire pour le remercier, sans ajouter un mot de plus. parce qu’elle n’a pas l’impression que ça sert à quelque chose. alors elle prend quelques gorgées de sa boisson, avant de se retourner vers lui. - si j’te laisse une chance, tu vas encore te barrer ? et me briser le coeur. prunelles plantées dans les siennes, elle a juste besoin de savoir si ça vaut le coup de rester ou si elle devrait mieux passer à autre chose. maybe ses géniteurs ont déjà trouvé le remplaçant de jimmy, très certainement même connaissant les géniteurs bianchi. mais elle veut pas quelqu’un d’autre, là est bien le problème. c’est le débile qu’elle veut, parce qu’il reste son débile même après toute cette histoire. - j’te garantis rien, j’préfère te prévenir. parce qu’elle doit encore savoir s’il peut être digne de confiance, et si elle est prête à recommencer. et ça, c’est pas gagné.
 

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